Pendant le quinquennat du président Nicolas Sarkozy, j'ai eu l'honneur de rencontrer et d'accueillir François Fillon qui avait à l'époque la lourde charge, au poste de premier ministre, d'orchestrer son gouvernement.
A cette époque, j'ai pu m'apercevoir que ce grand monsieur avait l'étoffe d'être président de la République Française. En effet, il mettait déjà son énergie aux services des autres et quand on le plaisir de croiser son regard lors de réunions, de meetings ou de grands rassemblements, il est impossible de ne pas sentir son implication et sa volonté pour changer les lignes et faire bouger les choses.
Aujourd'hui, nous n'avons plus de temps à perdre et nous ne pouvons plus nous permettre de nous tromper et de revivre un quinquennat aussi désastreux et dangereux que celui-ci. Nous avons un président français "absent" qui n'a pas su faire face à l'ampleur de la situation. Nous sommes toujours en "Alerte Maximale" et il est incompréhensible que personne ne parle du bilan désastreux de François Hollande.
La presse française tente de destabiliser notre candidat légitime François Fillon pour saboter la campagne et mettre en place le remplaçant de François Hollande, Emmanuel Macron. Cette obstination à ne pas laisser les citoyens français s'exprimer lors des élections présidentielles est un scandale d'État. Je me souviens que Notre ami Philippe Juvin, député européen et Maire de La Garenne-Colombes, nous avait confié : "Je suis devenu européen parce que je suis patriote !". Pour ma part, je suis complètement d'accord et j'y adhère totalement.
Je suis européen parce que je suis patriote et je suis patriote parce que je suis français. Je considère qu'il faut cesser de se chamailler pour des broutilles et il faut que chacun d'entre nous délivre un message de raison afin de nous sortir de cette spirale infernale qui nous hante et qui s'appelle la dette d'un montant de plus de 2000 milliards d'euros atteignant bientôt 100% du PIB.
Le choix des français sera décisif pour nous tous et la réduction des dépenses publiques sera obligatoire. C'est une des raisons pour lesquelles je voterais François Fillon en pensant à nos futures générations qui sauront que c'est un choix de raison, d'obligation mais aussi notre devoir !
Jean-Jacques Saradjian